Présentation
L’AEJTCI est une structure apolitique dont les membres sont des enfants et des jeunes qui travaillent dans le secteur informel entre 12 et 30 ans (mais il arrive pour des raisons sociales et conflictuelles d’avoir des membres de moins de 12 ans). Elle existe en Cote d’Ivoire depuis 1994 et est reconnue sous le récépissé N° 062/INT/DAP/SD2 et enregistré sous le N° 711/DGAAT du 13 février 1998. L’association a un statut national et de ce fait il existe des démembrements de la même structure dans d’autres villes notamment : Aboisso, Bonoua, Grand-Bassam, Abidjan, Grand-Lahou, Touba, San-Pedro, Abengourou, Bouaké, Toumodi, Duékoué, Ferkessédougou, Korhogo, Adiaké. L’AEJTCI est en train de développer des initiatives afin de couvrir d’autres villes (Bingerville, Yamoussoukro, Bondoukou, Gagnoa, Daloa, Soubré, Bouaflé, Dabou, Katiola, Touleupleu, Man).
L’AEJTCI est un partenaire du Ministère de la Famille, de Femme et de l’Enfant et bénéficie du soutien en appui-conseil de celle-ci à travers des structures étatiques (centres sociaux) et non étatiques. L’AEJT est affiliée de façon permanente et active au Mouvement Africain des Enfants et Jeunes Travailleurs (MAEJT) qui regroupe 420 associations de 27 pays africains et des pays de l’Amérique latine et l’inde.
Son objectif principal est d’améliorer les conditions de vie et de travail des enfants et jeunes. Pour ce faire, l’AEJT s’appuie sur différents domaines que sont :
• la promotion des droits de l’enfant
• la protection de l’enfant le
• l’aphabétisation
• renforcement des capacités des membres et des associations ;
• les AGR (Activités Génératrices de revenus)
• la collaboration
• la communaucation
• le plaidoyer
En 1994, les fondateurs du Mouvement Africain des Enfants et Jeunes Travailleurs ont identifié douze droits prioritaires pour lutter contre l'exploitation et les mauvaises conditions de travail des enfants et ont formulé un programme de promotion de ces droits.